Je les veux voir, mes vieux Comédiens à cheveux blancs, groupés ensemble dans leur asile fleuri comme des abeilles d’une ruche, avec cette différence que les abeilles travaillent et qu’eux ne feront plus rien. Je les veux voir sans une ombre de mélancolie dans leur belle maison ensoleillée, bavardant de leurs succès d’antan sous les verts rameaux de leur parc ombreux.